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Arrivé à Zollenheim
Zollernberg :: Les Provinces :: Zabrück
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Arrivé à Zollenheim
Le train spécial du Feld-Maréchal arriva à la gare de Zollenheim vers 9h du matin. Malgré le fait qu'il ne fut annoncé qu'un petit quart d'heure plus tôt, une foule immense se pressa autour du quai.
Malgré toute son imagination, Gatline ne pouvait plus rester dans l'ombre comme quand il n'était que directeur des ZZZ, son rôle de Feld-Maréchal le forçait souvent à se rendre à divers cérémonies public ou il ne pouvait guère se caché. Il se pliait donc bon gré mal gré aux exigences de la vie publique. Le train entra en gare à 9h10. Une locomotive plus que normale, ce fut les wagons qui l'étaient moins. Ils avait un aspect plus métallique, sûrement étaient-ils blindés pour prévenir à tout les risques. Des hommes étaient montés sur le toit des wagons, habillés de noirs et armées de fusils à lunettes. Probablement des anges de la mort des ZZZ. Le train finit par s'arrêter en fin de tronçon, terminus pour le Feld-Maréchal.
A peine le train arrêter, une horde de soldats zindiens sorti des wagons et firent reculer la foule. Leurs uniformes marrons, leurs turbans, leurs barbes et leurs sabres firent place net à la foule compact et désordonné. Une première rangé garda cette dernière en respect tandis qu'une seconde rangés se plaça dos à dos avec la première, formant une haie d'honneur pour le commandant en chef. C'était des sapeurs, leurs barbes épaisses, leurs haches et leurs tabliers ne laissaient aucun doute. Il ne fallait pas oublier que Gatline était avant tout un homme du génie militaire, un ingénieur et un savant.
Du troisième wagon descendit un homme habillé d'un manteau noir et d'un tricorne. Scarmyglyone dissimulait sans problème un formidable armement dont il savait à peine se servir sous son manteau, il avait vraiment l'allure d'un yssois, la perruque typique et le tricorne assorti au manteau probablement fabriqué à Venys. Il passa en revu le couloir dégager par les zindiens et les sapeurs. Il revint vers le wagon, remonta, puis quelque instant redescendit et se plaça à gauche de la sorti.
Et le miracle fut.
Edorel Gatline déscendit du wagon sous les acclamations du peuple de Zollenheim. Lui, le mercenaire sorti de nulle part et à l'origine douteuse, d'abord simple exécutant, puis conseiller, puis directeur des ZZZ, puis Feld-Maréchal, en aussi peu de temps. Lui qui se permettait de parler a Feu Zabrucksï père comme un charretier, lui qui avait abordé et capturer un navire édoranais au nez et à la barbe des plus puissants navires de guerre, lui qui avait semé la zizanie en micrarctique, lui qui avait renégocié Pepperstadt. Il aurait bien voulue se passer de ce moment là. Il resplendissait, quoique trentenaire et encore jeune (et toute sa tête), il commençait a accuser les signes d'une forte activité et des marques qu'on ne pouvait recevoir qu'à la guerre. Il boitait légèrement du pied droit, il avait les yeux qui partait dans tout les sens comme pour surveiller ses alentours.
Il portait l'habit du Feld-Maréchal. Bottes noirs, pantalon noir, veste noir à galons dorés, chemise blanche, cravate noir, bicorne noir. Edorel préférait la bicorne à la casquette qui semblait devenir le nouveau couvre-chef du militaire zollernois. Il portait son yatagan à la ceinture, son révolver était attaché à la jambe et non à la ceinture. Son fameux brassard n'était plus le même, le cuir orné de broderies au fil d'or était remplacé par de petites plaques d'acier travailler à la manière des turcoses, c'est à dire : admirablement. Il tenait dans ses mains gantés de cuir le bâton de velours rouge du Feld-Maréchal, que le Grand-Duc, lui avait remis en personne.
Dans la foule, beaucoup de femmes. Tout le monde savait qu'il refusé les avances de Felgeheim pour lui faire épouser sa fille (ce que tout le monde semblait approuvé) ainsi que d'autres propositions plus ou moins intéressante. L'obstination de Gatline à rester dans le célibat ne découragé personne. Pas même les femmes qui tentait de se dévoiler la poitrine pour attirer son attention. Bien sur, les maris jaloux, les pères consciencieux et les grands frères tentaient tous de masquer cela. Rien à faire de toute façon, Gatline salua à peine la foule et s'avança aussi vite que lui permettait sa prothèse pour rejoindre le maire de Zollenheim. Celui-ci, avertit plus tôt avait fait préparer sa voiture pour mener le Feld-Maréchal à l'hôtel de ville de Zollenheim, qui faisait office de quartier-général pour l'armée du Nordenmark.
La voiture escorté par huit huzzard atteignit l'hôtel en moins de dix minutes, le maire avait tout prévue pour permettre une circulation fluide pour le Feld-Maréchal. Celui-ci ne pipa pas un mot de tout le trajet.
Arrivé sur place une nouvelle haie d'honneur des différents régiments de l'armée du Nordenmark s'était formé. Pendant qu'il montait l'escalier de la Mairie, Gatline se tourna vers Scarmyglyone.
-Je crois savoir que la Grande-Duchesse est dans son château et que Manheim n'est qu'à une heure d'ici ? Nous dinerons chez elle, allez la prévenir.
-Ce n'est pas dans vos habitudes d'aller diner chez l'habitant maître ?
-Ce n'est pas dans vos habitudes de discuter de ce genre de chose non ? Faites vite, on lève le camp à l'aube et demain midi nous serons en Zaxe.
Malgré toute son imagination, Gatline ne pouvait plus rester dans l'ombre comme quand il n'était que directeur des ZZZ, son rôle de Feld-Maréchal le forçait souvent à se rendre à divers cérémonies public ou il ne pouvait guère se caché. Il se pliait donc bon gré mal gré aux exigences de la vie publique. Le train entra en gare à 9h10. Une locomotive plus que normale, ce fut les wagons qui l'étaient moins. Ils avait un aspect plus métallique, sûrement étaient-ils blindés pour prévenir à tout les risques. Des hommes étaient montés sur le toit des wagons, habillés de noirs et armées de fusils à lunettes. Probablement des anges de la mort des ZZZ. Le train finit par s'arrêter en fin de tronçon, terminus pour le Feld-Maréchal.
A peine le train arrêter, une horde de soldats zindiens sorti des wagons et firent reculer la foule. Leurs uniformes marrons, leurs turbans, leurs barbes et leurs sabres firent place net à la foule compact et désordonné. Une première rangé garda cette dernière en respect tandis qu'une seconde rangés se plaça dos à dos avec la première, formant une haie d'honneur pour le commandant en chef. C'était des sapeurs, leurs barbes épaisses, leurs haches et leurs tabliers ne laissaient aucun doute. Il ne fallait pas oublier que Gatline était avant tout un homme du génie militaire, un ingénieur et un savant.
Du troisième wagon descendit un homme habillé d'un manteau noir et d'un tricorne. Scarmyglyone dissimulait sans problème un formidable armement dont il savait à peine se servir sous son manteau, il avait vraiment l'allure d'un yssois, la perruque typique et le tricorne assorti au manteau probablement fabriqué à Venys. Il passa en revu le couloir dégager par les zindiens et les sapeurs. Il revint vers le wagon, remonta, puis quelque instant redescendit et se plaça à gauche de la sorti.
Et le miracle fut.
Edorel Gatline déscendit du wagon sous les acclamations du peuple de Zollenheim. Lui, le mercenaire sorti de nulle part et à l'origine douteuse, d'abord simple exécutant, puis conseiller, puis directeur des ZZZ, puis Feld-Maréchal, en aussi peu de temps. Lui qui se permettait de parler a Feu Zabrucksï père comme un charretier, lui qui avait abordé et capturer un navire édoranais au nez et à la barbe des plus puissants navires de guerre, lui qui avait semé la zizanie en micrarctique, lui qui avait renégocié Pepperstadt. Il aurait bien voulue se passer de ce moment là. Il resplendissait, quoique trentenaire et encore jeune (et toute sa tête), il commençait a accuser les signes d'une forte activité et des marques qu'on ne pouvait recevoir qu'à la guerre. Il boitait légèrement du pied droit, il avait les yeux qui partait dans tout les sens comme pour surveiller ses alentours.
Il portait l'habit du Feld-Maréchal. Bottes noirs, pantalon noir, veste noir à galons dorés, chemise blanche, cravate noir, bicorne noir. Edorel préférait la bicorne à la casquette qui semblait devenir le nouveau couvre-chef du militaire zollernois. Il portait son yatagan à la ceinture, son révolver était attaché à la jambe et non à la ceinture. Son fameux brassard n'était plus le même, le cuir orné de broderies au fil d'or était remplacé par de petites plaques d'acier travailler à la manière des turcoses, c'est à dire : admirablement. Il tenait dans ses mains gantés de cuir le bâton de velours rouge du Feld-Maréchal, que le Grand-Duc, lui avait remis en personne.
Dans la foule, beaucoup de femmes. Tout le monde savait qu'il refusé les avances de Felgeheim pour lui faire épouser sa fille (ce que tout le monde semblait approuvé) ainsi que d'autres propositions plus ou moins intéressante. L'obstination de Gatline à rester dans le célibat ne découragé personne. Pas même les femmes qui tentait de se dévoiler la poitrine pour attirer son attention. Bien sur, les maris jaloux, les pères consciencieux et les grands frères tentaient tous de masquer cela. Rien à faire de toute façon, Gatline salua à peine la foule et s'avança aussi vite que lui permettait sa prothèse pour rejoindre le maire de Zollenheim. Celui-ci, avertit plus tôt avait fait préparer sa voiture pour mener le Feld-Maréchal à l'hôtel de ville de Zollenheim, qui faisait office de quartier-général pour l'armée du Nordenmark.
La voiture escorté par huit huzzard atteignit l'hôtel en moins de dix minutes, le maire avait tout prévue pour permettre une circulation fluide pour le Feld-Maréchal. Celui-ci ne pipa pas un mot de tout le trajet.
Arrivé sur place une nouvelle haie d'honneur des différents régiments de l'armée du Nordenmark s'était formé. Pendant qu'il montait l'escalier de la Mairie, Gatline se tourna vers Scarmyglyone.
-Je crois savoir que la Grande-Duchesse est dans son château et que Manheim n'est qu'à une heure d'ici ? Nous dinerons chez elle, allez la prévenir.
-Ce n'est pas dans vos habitudes d'aller diner chez l'habitant maître ?
-Ce n'est pas dans vos habitudes de discuter de ce genre de chose non ? Faites vite, on lève le camp à l'aube et demain midi nous serons en Zaxe.
Edorel Gatline- Messages : 541
Date d'inscription : 01/12/2011
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